• Charger l'image dans la galerie, Jean-Claude LIBERT (1917-1995) abstraction circa 1950
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Jean-Claude LIBERT (1917-1995) abstraction circa 1950
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Jean-Claude LIBERT (1917-1995) abstraction circa 1950

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par 

Jean-Claude LIBERT (1917-1995)

Abstraction

Technique mixte sur papier signée en bas à droite

Dimension de l’oeuvre hors cadre : 31x24 cm

vendu avec son cadre

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Peintre français cubiste et abstrait de la nouvelle école de Paris, disciple d’Albert GLEIZES.

Quelques dates : 

1936-1938: Jean-Claude Libert entreprend ses Etudes supérieures à l'ENSAD (Arts décoratifs). Il épouse Jacqueline Mireau en 1938 et découvre en même temps le Salon d'Automne et Robert Delaunay en 1937, à l'exposition internationale et au Salon des Tuileries. Il travaille les après-midi dans l'atelier de dessins pour tissus imprimés de son père Marcel Libert et commence la peinture à l'huile.

1939-1945: Après la naissance de Patrick son premier fils, il fait son service militaire en tant qu'officier de réserve et rencontre Robert Mallet (devenu par la suite écrivain et recteur de l'Académie de Paris). Avec le poète Luc Bérimont, écrivain et poète il créé un petit journal de la caserne. La guerre étant déclarée avec l'Allemagne, il doit partir sur le front dans les Vosges. Après s'être défendu courageusement en protégeant ses hommes. Il est fait prisonnier en Sarre le 25 Mai 1940. Il est libéré en avril 1945 par les americains.

Il partage avec son père la direction de l'atelier de dessins pour tissus et dessine le soir à la Grande Chaumière où il se lie avec les peintres du groupe de l'Echelle : Patrix, Cortot, Calmette, Busse, ainsi qu'avec Michel Thomson, Rebeyrolle, Mouly. Réalise quelques toiles dans son atelier rue de Chézy à Neuilly et en plein air sur les bords de Seine.

 1946 : rencontre avec Albert GLEIZES et fréquentation de la galerie de Colette ALLENDY.

1948: se lie avec Georges BRAQUE et rencontre avec Yvette qui deviendra sa femme.

 1950-1951: Il continue de fréquenter la galerie Colette ALLENDY qui expose les peintre abstraits du mouvement COBRA. Il y rencontre Vieira Da Silva avec qui il entretiendra une conversation importante.

 1952-1955: Quitte Paris avec sa femme Yvette et habite près de Sablons en Isère à Moly Sabata dans la maison des artistes fondée par Albert Gleizes.

1956-1958: Après cinq ans passés à Moly Sabata,il décide avec sa femme de retourner à Villeneuve lez Avignon dans la maison de famille et d'ouvrir un atelier de poterie tout en continuant sa peinture.

 1958 : Obtient le prix de peinture de la ville d'Avignon. Une toile est acquise par le Musée Calvet. Leur amie Hélène Cingria, critique d'art au Provençal et aux Nouvelles Littéraires sera une des plus fidèles amies du couple. Pendant ces années, une fidèle clientèle, aussi bien pour la poterie que pour la peinture visitera l'atelier de Libert à Villeneuve. Prix de peinture d'Aix en Provence.

1957-1958 : Il exécute une commande avec sa femme au titre du 1% pour la décoration murale du nouveau Lycée Frédéric Mistral d'Avignon. Expose à Avignon et dans une galerie à Genève.

 1961-1962: Décès de Marguerite Libert, sa mère en 1961. Fait un court séjour à Paris, retourne à Villeneuve d'où il continue à peindre laissant la responsabilité de l'atelier de poterie à sa femme. Naissance de Frédéric, son fils cadet. Expose au Salon d'Automne à Paris. Décore une école primaire (Thor dans le Vaucluse ) Réalise avec sa femme d'après la maquette de celle-ci une décoration murale au Lycée de jeunes filles d'Avignon.

 1963: Décès de Marguerite Libert, sa mère en 1961. Fait un court séjour à Paris, retourne à Villeneuve d'où il continue à peindre laissant la responsabilité de l'atelier de poterie à sa femme. Naissance de Frédéric, son fils cadet. Expose au Salon d'Automne à Paris. Décore une école primaire (Thor dans le Vaucluse ) Réalise avec sa femme d'après la maquette de celle-ci une décoration murale au Lycée de jeunes filles d'Avignon.

1966-1967: Fait partie de la commission de réforme de l'enseignement de l'architecture aux Arts et Lettres. Continue à peindre. Aborde une nouvelle période picturale, celle de ses "dessins-séismes", des "garrigues" et des "femmes-falaises", inspirés par les rythmes géologiques de la Provence.

1971-1973: Réalise une série de décorations pour plusieurs collèges au titre du 1% des affaires culturelles, qui seront exécutées par sa femme Yvette. L'une d'elle sera l'occasion d'une publication dans la revue "le mur vivant". Continue à peindre et à enseigner. Attiré par l'Art Graphique, réalise un grand nombre de dessins à la plume. Se rend chaque année aux Rencontres Internationales de Lure, écrit des essais sur l'image " L'image, pourquoi faire, discours et métaphore dans le discours séquentiel d'images" . Chargé de cours à l'UER d'Arts Plastiques St Charles, il crée avec Pierre Noël Drain un cours sur le Discours Séquentiel d'Images.

1995 : Décès de Jean-Claude LIBERT à Anthony.